Carnaval 2020
Quelques photos du défilé carnavalesque 2020 de ce dimanche 23 février.
AG du 21 février 2020
L'assemblée générale de l'association s'est tenue le vendredi 21 février.
Il appartint au président Gérard Michel d'ouvrir la séance et de présenter succinctement l'année écoulée.
Puis le secrétaire René Bourgon fit le rapport d'activité 2019 :
-restauration calvaire chemin des carrières
- participation aux festivités (fête du beaujolais nouveau, fête de la Vallée de la Bièvre)
- participation à l'opération des brioches de l'amitié
Il présenta le programme 2020 :
- poursuite de la réfection des calvaires
- participation à la journée du Grand Est sur le bâti
- présentation des fouilles de la faïencerie
- participation à la fête de la vallée de la Bièvre
La trésorière Andrée Mairesse présenta le bilan financier qui fut approuvé par les réviseurs aux comptes et obtint quitus de l'assemblée.
On procéda aux votes et les membres du comité et les réviseurs aux comptes furent réélus à l'unanimité.
Il fut décidé que la cotisation pour l'année 2021 resterait fixée à 12€.
En conclusion le maire Claude Vouriot, dont c'était la dernière présence comme maire, remercia l'association pour ses actions et fit le point sur les travaux en cours sur le site de la faïencerie.
Il remit à l'association des objets recueillis lors des travaux et un album photo des années 1960 reçu de la famille Barrau (directeur de la faïencerie à l'époque)
Le président remercia le maire de sa présence et de son soutien indéfectible de l'association durant toutes ces années.
Il invita l'assemblée à se retrouver autour d'une collation.
AG
L'assemblée générale de notre association se tiendra le vendredi 21 février à partir de 20h au complexe de salles.
A l'ordre du jour notamment :
- rapport d'activités de l'année 2019
- les différents rapports
- programme d'actions 2020
- élection des membres du comité
Si vous vous intéressez aux passé et futur de notre commune ou voulez mieux nous connaître venez nous rencontrer.
La cotisation 2020 est de 12€.
A bientôt
Joyeux Noël à tous
Cette année encore les bénévoles ont installé la crèche dans l'église de Niderviller.
Merci à eux et joyeux Noël à tous.
Décès
Madame Catherine Michel dite Cathy vient de nous quitter en ce 20 octobre 2019 à l'âge de 61 ans. Elle a travaillé de nombreuses années à la faïencerie de Niderviller. A l'APN nous appréciions notamment la qualité de ses pâtisseries
Elle était l'épouse de Gérard Michel président de l'APN.
L'enterrement aura lieu le 24 octobre à 14h30 à Niderviller.
Nos très sincères condoléances à Gérard, ses fils Jonathan et Matthieu et à toute la famille.
La vallée de la Bièvre en fête
Ce dimanche 13 octobre s'est tenue à Niderviller la 4ème édition du marché du terroir et de l'artisanat.
L'APN était présente avec une exposition d'oeuvres de peintres sur le village.
Nos amis de l'association de Sauvegarde du patrimoine verrier de Vallérysthal, présentaient une exposition sur la cristallerie de Hartzviller en cours de démolition
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Réédition d'oeuvres d'Astolphe de Custine
Les éditions "classiques Garnier" viennent de rééditer deux oeuvres d'Astolphe de Custine en un volume : "Le monde comme il est" et "Ethel".
Deux romans de cet écrivain né à Niderviller à découvrir avec des commentaires éclairés.
Sans oublier son livre majeur "La Russie en 1839" qui eut un succès mondial.
Une nouvelle association
Une nouvelle association "Les amis de Custine" a vu le jour.
Initiée par Samantha Caretti en Normandie elle souhaite mieux faire connaitre la famille des Custine notamment Delphine et Astolphe (né à Niderviller).
Une manifestation de commémoration de la mort de Delphine s'est tenue ce 13 juillet à Auquainville (Calvados) dans l'église où reposent Delphine, Astolphe son fils ainsi que l'épouse et le fils de ce dernier.
Retrouvez des photos de l'événement à l'adresse https://www.amisdecustine.com/copie-de-evenements-a-venir
Des nouvelles de l'association sur leur site https://www.amisdecustine.com
Longue vie à cette association
Qui sont les saints de glace
Les saints de glace approchent ! Mais qui sont-ils ? Saint-Mamert, Saint-Pancrace et Saint-Servais doivent leur surnom au bon sens populaire, qui observait des gelées tardives le jour de leurs fêtes, les 11, 12 et 13 mai.
Détrônés par Estelle, Achille et Rolande
Dans le calendrier actuel, ils ont été détrônés par Estelle, Achille et Rolande car en 1960, l’Église catholique a supprimé les saints auxquels on vouait un culte de type païen. Reste qu’agriculteurs et viticulteurs ont longtemps continué à implorer les saints de glace lors de processions. Aujourd’hui encore, les jardiniers ne plantent jamais pendant ces trois jours s’il y a risque de gel.
Pourquoi le 8 mai est un jour férié
Le choix du 8 mai pour célébrer la fin des combats de la Seconde Guerre mondiale n'était pas une évidence.
Au mois de mai, les jours fériés se succèdent à une telle allure qu’on a parfois à peine le temps de penser à leur signification.
Le 8 mai, les Français commémorent la fin des combats en Europe contre l’Allemagne nazie. Bizarrement, ils sont les seuls, avec la République tchèque et la Slovaquie, à avoir considéré cette date comme symbolique et a en avoir fait un jour férié.
1. Le lendemain de la capitulation allemande
Le 8 mai 1945 est le jour où cessent les combats de la Seconde Guerre mondiale en Europe, au lendemain de la capitulation allemande. Celle-ci intervient dans la nuit du 6 au 7 mai.
Capitulation sans condition, elle est signée à Reims, où se trouve le quartier général des forces Alliées, par le général Alfred Jodl, le chef d’état-major de la Wehrmacht.
L’Allemagne nazie a perdu sa tête quelques jours plus tôt : le 30 avril, Adolf Hitler s’est suicidé dans son bunker, à Berlin. A partir de l’automne 1942, les Alliés avaient pris l’avantage sur l’Allemagne et depuis février 1945, le pays était envahi à la fois par l’Est et par l’Ouest.
L’acte de capitulation fixe la cessation des hostilités au 8 mai à 23h01.
La Seconde Guerre mondiale ne se termine réellement que quatre mois plus tard, avec la capitulation du Japon le 2 septembre 1945. Elle a coûté la vie à 40 à 50 millions de personnes.
2. Une spécificité française
La décision des Français de retenir le 8 mai comme jour de commémoration est atypique.
Les Russes célèbrent la capitulation de l’Allemagne nazie et la fin des combats le 9 mai. En effet, les Allemands ont capitulé une seconde fois le 9 mai, au quartier général des des forces soviétiques à Berlin. Une façon pour Staline de montrer aux Alliés que l’URSS ne comptait pas se laisser confisquer la victoire. En outre, à cause du décalage horaire, la fin des combats a eu lieu le 9 mai et non le 8, à l’heure de Moscou.
Au Royaume-Uni et aux États-Unis, le 8 mai n’est pas un jour férié. Les Américains rendent hommage aux soldats morts pour la patrie le dernier lundi de mai, appelé « Memorial Day« .
3. Un jour férié qui a fait débat
En France, une loi de 1946 dispose que la victoire sur l’Allemagne nazie sera commémorée « le 8 mai de chaque année si ce jour est un dimanche et, dans le cas contraire, le premier dimanche qui suivra cette date« , mais cette décision pose rapidement ds problèmes : la célébration se trouve concurrencée, voire occultée, par la fête de Jeanne d’Arc, qui tombe au même moment.
A la demande des anciens déportés et résistants, une nouvelle loi est votée en 1953, qui fait du 8 mai le jour fixe de la commémoration et un jour férié… mais seulement pour quelques années, car on revient à une date variable (le deuxième dimanche de mai) dès 1959. En 1968, nouveau changement : la commémoration est à nouveau fixée au 8 mai, mais ce jour reste travaillé.
En 1975, le président Valéry Giscard d’Estaing décide de supprimer la commémoration officielle de la victoire sur l’Allemagne nazie et de la remplacer par une « journée de l’Europe« , pour marquer la réconciliation franco-allemande. Il souhaite transformer le 11 novembre en une journée nationale du souvenir mais suscite ainsi l’indignation des associations d’anciens combattants.
Prenant son contre-pied, François Mitterrand fait en 1981 du 8 mai un jour férié. Depuis cette date, la commémoration revêt à nouveau un caractère officiel à l’échelle nationale. Son rituel est en grande partie emprunté à celui du 11 novembre : le président passe en revue les troupes sur la place de l’Étoile, dépose une gerbe, ravive la flamme du tombeau du soldat inconnu.